Le sepsis, réponse inflammatoire exacerbée de l’organisme face à une infection, demeure une cause majeure de mortalité à l’échelle mondiale. Les traitements efficaces existent mais s’accompagnent souvent d’effets secondaires importants. Des scientifiques de l’équipe INPACT (thèse de doctorat de Younes Louaguenouni encadré par Elias Fattal et François Fay) proposent une approche innovante à base de nanovecteurs permettant une distribution optimisée des principes actifs vers les cellules immunitaires hyper-inflammées, améliorant ainsi significativement la survie dans un modèle murin de sepsis.
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(image créée en utilisant BioRender par F. Fay, 2025)
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